• – Coûts directs : Ce sont les coûts directement liés à la prestation de votre service. Par exemple, le temps que vous y consacrez, les outils ou équipements nécessaires, les frais de déplacement, etc.
• – Coûts indirects : Ce sont les coûts fixes ou généraux pour faire fonctionner votre activité, comme la location de votre bureau, la comptabilité, les logiciels, les assurances, etc.

2. Évaluer la valeur ajoutée

• – Réfléchissez à la valeur perçue par vos clients. Plus votre service répond à un besoin spécifique ou résout un problème important, plus vous pourrez justifier un prix élevé.
• – Si vous apportez une expertise rare, si votre service est de haute qualité ou offre une expérience unique, vous pouvez fixer un prix premium.

3. Étudier la concurrence

• – Analysez les prix des services similaires dans votre secteur. Observez ce que vos concurrents offrent et à quel tarif. Cela vous permettra de vous situer dans la fourchette des prix du marché.
• – Positionnement : Que vous désiriez vous positionner dans le segment du luxe ou privilégier une offre accessible, vous pouvez adapter vos prix en conséquence. Un prix plus élevé peut aussi évoquer un service de meilleure qualité, mais il ne doit pas être excessif par rapport à ce que vous proposez.

4. Fixer un tarif horaire ou forfaitaire

• – Tarif horaire : Si votre service implique beaucoup de temps et de personnalisation, un tarif horaire peut être adapté. Cela vous permet de facturer précisément en fonction du temps passé.
• – Tarif forfaitaire : Si votre service est relativement standardisé, il peut être judicieux de fixer un tarif forfaitaire. Cela simplifie la facturation et peut être plus attractif pour le client.
• – Tarif par projet : Si vous proposez des services sur des projets spécifiques (par exemple la création d’un site web, une rénovation, etc.), un tarif par projet pourrait être plus adapté.